Ce texte du XVIe siècle témoigne de la volonté très moderne, de la part d’Antonio Telesio, d’établir un lexique raisonné des couleurs, de réfléchir sur l’univers chromatique de l’Antiquité ; la traduction de Christine Viglino, la préface et les notes éclairantes de Michel Indergand, qui encadrent le texte latin en fac-similé, permettent de comprendre comment autrefois étaient définies les couleurs.

Cette édition a pu voir le jour grâce à l’implication des professeurs et des étudiants de l’École Estienne, depuis la conception de la maquette jusqu’à la fabrication de l’ouvrage, ce qui en fait un nouvel Inédit qui renoue avec la tradition des Inédits d’Estienne.